Depuis son avènement au pouvoir en 2016, le président Patrice Talon a largement transformé l’économie béninoise. Les chiffres en disent long sur sa capacité de gouvernance ainsi que sur les compétences des hommes qui l’entourent. De l’avis de plusieurs observateurs, le cerveau de cette transformation économique demeure bel et bien le ministre de l’économie et des finances Romuald WADAGNI. Cet économiste de formation à une vision très ambitieuse de l’économie Béninoise. Le montant du budget de l’État, gestion 2025, a été revu à la hausse pour un montant record de 3551 milliards de francs CFA. Les institutions internationales classent désormais le Bénin dans les plus grandes économies africaines.
Le mérite revient aussi au président Patrice Talon et son gouvernement qui ont mis en place la zone économique et spéciale de Glo-Djigbé. Un investissement privé de plus de 250 milliards de francs CFA y est consacré. L’objectif est d’industrialiser l’économie Béninoise. Les grandes industries y sont désormais présentes et ont pour ambition de transformer une large partie des matières premières produites au Bénin. Le gouvernement a limité l’exportation de plusieurs matières premières telles que le coton, le soja ou l’anacarde. Le but est de permettre leur transformation sur place par les industries de Glo-Djigbé. Cette perspective optimiste du gouvernement séduit de nombreux individus et préfigure une prospérité économique pour le Bénin.
Le second pilier du programme gouvernemental qui reçoit l’unanimité est la refonte de la structure du transport routier au Bénin. Grâce à l’asphaltage plusieurs axes routiers ont été réfectionnés ou construits sur l’ensemble du territoire national. Selon les déclarations du président Patrice Talon lors de son discours sur l’état de la nation, le Bénin est classé cinquième en Afrique pour la qualité de son réseau routier. Ce réseau routier permettra d’acheminer plus facilement des matières premières de leur lieu de production vers les industries de transformation. Sachant que la construction de routes ne suffit pas à faire progresser un pays, le président s’est engagé à s’occuper du pouvoir d’achat de ses compatriotes. Il envisage d’élever le montant des microcrédits aux plus pauvres.
La numérisation a facilité l’accès du microcrédit à de nombreux ménages. Le président a promis également mettre à la disposition des industries béninoises une ressource humaine de qualité. Dans le secteur éducatif, près de 30 lycées techniques et professionnels seront construits sur l’ensemble du territoire national. Trois d’entre eux ouvriront leurs portes durant l’année 2025. Plus de 500 enseignants seront recrutés afin d’apporter une connaissance de qualité aux élèves et étudiants. Compte tenu de toutes ces actions, on peut légitimement affirmer que le Président Patrice Talon est un grand réformateur. Près de 45% du budget de l’État pour la gestion 2025 a été alloué au secteur social.
Raoul GANDAHO