Pour les élections législatives en vue en France, Alain Taieb, homme d’affaires à succès entend porter la voix des Français de l’étranger et des EFE dont des entreprises de droit local, créées et dirigées par un Français résidant à l’étranger… Il a entrepris une tournée dans une quinzaine de pays africains et a échangé dans ce cadre avec les Français résidents au Bénin le lundi 25 Avril 2022 à Cotonou.
Bidossessi WANOU
Venir à la rencontre de ses compatriotes résidant dans divers pays africains constituant la circonscription électorale des Français de l’étranger pour discuter avec eux de sa candidature pour les élections législatives de juin prochain en France. C’est ce qui a justifié la présence de l’homme d’affaires français à succès, Alain TAIEB, candidat indépendant aux élections législatives en France dans la 10è circonscription. Dans cette circonscription qui regroupe des Français de l’étranger, le candidat justifie d’une excellente expérience dans les relations d’affaires pour y avoir vécu longtemps. Il détient dans cette base, 80 entreprises qui profitent à 3 000 personnes, un nombre record d’emplois créés. Il est l’un des rares candidats à justifier un tel ancrage personnel et professionnel dans cette circonscription. Avec une longue expérience dans la société civile, le candidat connaît plus que quiconque les préoccupations des Français de l’étranger comme ceux vivant en France et saura avec ses lobbyings mieux les défendre à travers diverses initiatives s’il parvenait à avoir leur accord pour siéger et se faire compter parmi les onze députés représentant les Français de l’étranger. Face à la diaspora résidante à Cotonou, ingénieur de formation, Alain TAIEB a levé un coin de voile sur ses ambitions. Dans la dixième circonscription où il est candidat, il n’y a eu jamais eu de députés de terrain et c’est ce pour quoi milite l’homme de la société civile. Avec un parcours riche de son ancrage dans la société civile, le monde des affaires et expatrié pendant plusieurs années, Alain Taieb croit remplir toutes les conditions nécessaires pour défendre cette catégorie de Français dont il maîtrise au mieux les difficultés et besoins. « Ma candidature est celle d’un citoyen de la société civile qui a des expériences dans les affaires », a confié le candidat qui a ajouté : « La partie sociale, je la connais. Je n’aurai aucun complexe à m’occuper des problèmes ».
Promotion des entreprises et de la langue françaises à l’étranger
Soutenir la diaspora française vivant sur le continent africain notamment la 10è circonscription, c’est le vœu le plus cher du candidat Alain Taieb. Il a promis à cet effet mettre en place s’il venait à être élu, deux fondations dédiées aux entreprises françaises de l’étranger. Depuis plusieurs années, Alain Taieb fort de son expérience dans les affaires sur le continent, a aidé et accompagné plusieurs entreprises françaises à s’installer dans plusieurs pays du continent africain que ce soit au Centre, au Nord et les pays anglo-saxons. Sachant qu’on dénombrera 600 millions de Français dans les pays africains à l’horizon 2050, le candidat y voit une opportunité pour une meilleure promotion de la langue française à travers les Ecoles françaises à l’étranger (EFE). Par-là, la culture française pourra s’ancrer davantage. Ce projet ne sera effectif que quand l’éducation se trouvera renforcée. Il en est conscient et entend œuvrer au recensement partout en Afrique des Français et au suivi rigoureux de ceux en âge d’aller à l’école pour qu’ils la fréquentent. Quant aux déscolarisés, le futur député demeure autant préoccupé par leur situation. Il a promis, que ce soit en France ou ailleurs, plaider pour que le programme d’apprentissage soit densifié afin de sortir plusieurs jeunes du chômage et de la disette. Pour le candidat, c’est une épopée cette candidature singulière. Elle est indépendante, ce qui lui donne vraiment des coudées franches une fois élu de prendre des initiatives auxquelles il saura rallier des élus éclairés qui partageront le même rêve que lui. « Je ne suis pas avec l’estampille d’un parti politique. Je suis un citoyen de la société civile. Je suis trans-parti et indépendant. Ce qui me permet dans le contexte actuel en France d’avoir une certaine originalité et de ne pas être coincé par un parti ou avoir à faire allégeance à un parti dont j’aurai à suivre les idéologies ou les consignes lorsqu’il s’agira de prendre des initiatives et de défendre un point de vue. Je suis un homme libre ». Le candidat entend faire le tour d’une quinzaine d’Etats africains où il exposera ses ambitions à ses compatriotes Français.
Le social, en point de mire
Alain Taieb se définit comme un candidat du peuple. Au fait, il entend se mettre au service de la masse notamment les Français de l’étranger via diverses initiatives. Je voudrais rencontrer toutes les couches, des retraités, des gens en activités, des autochtones qui ont la double nationalité… « J’entends rencontrer le maximum de Français dans tous les domaines de la société. Certains ont une vie beaucoup plus agréable mais d’autres, ce n’est pas encore ça. Et nous ne faisons pas suffisamment de choses pour nos compatriotes. Le député que je serais si je suis élu, fera en sorte que des systèmes d’aide, que ce soit de l’Etat mais également privés, puissent apporter des solutions à cette population ». Penser aux autres et faire du bien autour de soi, c’est ainsi que le candidat résume sa vision. L’homme défend ne pas vouloir aller s’installer pour faire la politique mais plutôt pour prendre la défense des Français. Entrepreneur engagé, Alain Taieb a promis de s’investir pour le développement et l’amélioration du pouvoir d’achat. « Je suis persuadé qu’une politique économique dynamique garantit, par la richesse qu’elle crée, une politique sociale juste », a-t-il confié. Aux personnes âgées, retraités et autres citoyens en situation difficile, le candidat promet d’œuvrer avec d’autres élus, des consultants et ambassades pour qu’ils aient plus d’attention à travers divers fonds de solidarité et police assurance. La politique fiscale des résidences dites secondaires a également fait l’objet de discussion et le candidat a promis de s’y pencher une fois élu. Après plusieurs heures d’échanges avec la cible venue nombreuse écouter son message, Alain TAIEB a noté nombre d’autres préoccupations et s’engage à se consacrer à ses priorités. Il a promis ne faire qu’un seul mandat pour résoudre des problèmes ponctuels, et durant tout le mandat, il restera proche des mandants dont il recueillera l’avis sur les sujets d’intérêt public et leur besoin, afin de trouver des solutions via des projets de loi. La collaboration sera donc très étroite avec les conseillers consulaires pour mieux s’informer sur les difficultés des Français de l’étranger dans chacun des pays de sa circonscription électorale. Ils se sont séparés sur une note de satisfaction et le candidat a mis le cap sur le Togo avant d’atterrir dans d’autres pays d’Afrique.