Le Ghana a accueilli du 23 au 27 mai 2022, les Assemblées annuelles 2022 du Groupe de la Banque africaine de développement. Aux côtés d’autres sommités du monde bancaire et financier africain, le directeur général et promoteur d’Afrik Créances, Blaise Ahouantchédé a pris part aux travaux.
Bidossessi WANOU
Les Assemblées générales annuelles de la Banque africaine de développement (BAD) se sont tenues du 23 au 27 mai 2022 au Ghana. Grand rendez-vous des acteurs du monde bancaire et financier en Afrique, ces assises placées sous le thème: « Favoriser la résilience climatique et une transition énergétique juste pour l’Afrique » ont connu également la présence du Président directeur général de Afrik Créances, Blaise Ahouantchédé. Dans son intervention auxdites assemblées, il a souligné le caractère catalytique du financement pour la promotion des entreprises, des affaires en vue du développement du continent. Le thème de cette édition des AG annuelles de la BAD est d’une importance capitale et répond aux enjeux du moment, selon le PDG de Afrik Créances. Le climat se retrouve au cœur de tout et conditionne même l’accès à l’énergie. En décidant donc de se focaliser sur la résilience climatique, la transition énergétique, les organisateurs, la BAD touche des questions assez sensibles, préalables de tout développement. D’ailleurs, les deux questions sont intimement liées car, la transition énergétique doit prendre en compte la situation climatique qu’elle a également conditionnée en amont par ailleurs. Sachant que le thème de cette année offre une ébauche préparatoire à la Conférence des Nations unies sur le climat (COP27), qui aura lieu à Sharm El Sheikh, en Égypte, en novembre 2022, Blaise Ahouantchédé estime que ces AG constituent un cadre privilégié de réflexions approfondies pour cerner tous les contours du sujet et contribuer à la réflexion en vue de proposer des solutions adéquates à proposer aux nations. Aussi, ces AG de la BAD se sont intéressées à la manière de stimuler le financement de l’adaptation au climat et les questions connexes. Cela ne représente pour l’heure que 10 % du financement mondial du climat. Environ 19 % seulement du financement international total de l’adaptation sont destinés à l’Afrique, le continent ne recevant que 3 % des flux financiers mondiaux liés au climat. C’est donc un défi et également un terrain favorable que pourra investir Afrik Créances qui, riche de l’expérience de son promoteurs, saura allier les outils nécessaires et permettre de faire bouger les lignes. D’ailleurs, Blaise Ahouantchédé n’a pas manqué de le souligner durant ces assemblées générales. Ce fut dans l’ensemble, une brillante participation pour le PDG d’Afrik Créances qui se positionne déjà comme un leader de l’accès au financement dans ses zones d’intervention.