Le monde entier a célébré le lundi 25 janvier 2022, la journée mondiale de la lutte contre le paludisme. A l’occasion le groupe bancaire panafricain, Ecobank a réitéré son engagement pour la lutte contre cette maladie. Dans ce sens, le groupe bancaire a déjà réussi à mobiliser dans les quatre pays où se déroule l’initiative, près de 500 000 dollars US et engagé 37 entreprises locales.
COMMUNIQUE DE PRESSE
Le Groupe Ecobank confirme son engagement pour la lutte contre le paludisme avec l’initiative « Zéro Palu ! Les entreprises s’engagent ».
- Une initiative en partenariat avec Speak Up Africa et le partenariat RBM pour en finir avec le paludisme, lancée en 2020
- 500 000 dollars US mobilisés dans 4 pays africains et 37 entreprises locales engagées dans le cadre de cette initiative
Lomé, le 25 avril 2022 – À l’occasion de la journée mondiale de la lutte contre le paludisme, le Groupe Ecobank, à travers sa Fondation, confirme son engagement pour la lutte contre le paludisme en partenariat avec Speak Up Africa, une organisation à but non lucratif de plaidoyer. A travers l’initiative « Zéro Palu ! Les entreprises s’engagent », lancée au Bénin, Burkina Faso, Sénégal et en Ouganda, le Groupe a déjà mobilisé près de 500 000 dollars US et engagé 37 entreprises locales.
Cette initiative démontre l’engagement profond de la banque à mettre à profit son expertise et son réseau de clients et de partenaires pour répondre à ce défi crucial de santé publique. L’objectif principal du projet est de permettre la participation du secteur privé dans un plaidoyer favorisant une volonté politique et des ressources accrues pour les actions visant à l’élimination complète du paludisme sur le continent africain.
Le paludisme reste une cause majeure de décès en Afrique subsaharienne avec près de 602 000 décès en 2020 dont 80 % concernent des enfants de moins de 5 ans. La même année près de 34 % des femmes enceintes ont souffert du paludisme, ce qui a entrainé la naissance de 819 000 enfants exposés à des risques accrus de problèmes de santé sur le long terme.
Le paludisme s’avère être aussi un problème socio-économique. Selon une publication de la National Library of Medicine, l’Afrique perd chaque année 4,3 milliards de jours de travail, 1,5 milliard de jours d’école et lui coûte environ 12 milliards de dollars US par an. Un seul épisode de paludisme coûte en moyenne 9 dollars US à une famille, soit 3 % du revenu annuel moyen. La Banque mondiale estime que 100 millions de personnes sont poussées dans la pauvreté en raison de dépenses de santé catastrophiques de ce type.
En plus d’être une nécessité sanitaire, la Fondation Ecobank considère la lutte contre le paludisme comme étant un enjeu incontournable du développement économique des pays africains qui demande un fort engagement du secteur privé. La participation des entreprises peut dynamiser les objectifs nationaux, en mobilisant davantage de partenaires et de ressources. C’est pourquoi, l’initiative « Zéro Palu ! Les entreprises s’engagent » est un des programmes phares de la Fondation Ecobank.
S’exprimant à propos de cette initiative, Elisa Desbordes-Cissé, directrice des opérations de la Fondation Ecobank, a déclaré : « Nous sommes fiers d’être à la tête de l’initiative Zéro Palu ! Les entreprises s’engagent aux côtés de Speak Up Africa et d’avoir déjà réussi à mobiliser ensemble 37 entreprises dans la lutte contre le paludisme. À travers notre contribution de près de 500 000 dollars US pour les lancements du programme au Bénin, au Burkina Faso, au Sénégal et en Ouganda, nous souhaitons nous engager fortement dans le développement social de ces pays face à un fléau qui engendre encore de lourdes conséquences humaines. Par cet engagement, la Fondation Ecobank continue à être un acteur panafricain qui vise à accompagner le développement social et économique des populations à travers le continent. »
—-FIN—–
Contact Média
Christiane Bossom
Group Manager Corporate Communication
Email: groupcorporatecomms@ecobank.com
Tel: +228 22 21 03 03
35°Nord – Agence de relation presse
Consultant Senior – Moustapha Baidy
+225 07 01 19 52 35
A propos de Ecobank Transnational Incorporated
Ecobank Transnational Incorporated (‘ETI’) est la société mère du Groupe Ecobank, le premier groupe bancaire panafricain indépendant. Le Groupe Ecobank emploie plus de 13.000 personnes au service de près de 32 millions de clients dans les secteurs de la banque des particuliers, la banque commerciale et la banque de grande clientèle dans 33 pays Africains. Le Groupe possède un agrément bancaire en France et dispose de bureaux de représentation à Addis Abeba en Ethiopie, à Johannesburg en Afrique du Sud, à Beijing en Chine, à Londres au Royaume-Uni et à Dubaï aux Emirats Arabes Unis. Le Groupe offre une gamme complète de produits, services et solutions bancaires notamment les comptes bancaires et de dépôt, la gestion de trésorerie, le conseil, les opérations du trading, la négociation des valeurs et la gestion de patrimoine. ETI est cotée en bourse sur plusieurs marchés boursiers à savoir London Stock Exchange à Londres, Nigerian Stock Exchange à Lagos, Ghana Stock Exchange à Accra et la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières à Abidjan. Pour de plus amples informations, prière de visiter www.ecobank.com
A propos de la Fondation Ecobank
La Fondation Ecobank a été créée pour avoir un impact positif sur la vie des gens en Afrique. Établie par le Groupe Ecobank, la première banque panafricaine, la Fondation est positionnée pour contribuer à la transformation sociale et économique du continent, en particulier dans les communautés dans lesquelles la banque opère.
Pour plus d’informations, veuillez consulter : www.ecobankfoundation.org
A propos de Speak Up Africa
Basé à Dakar, Sénégal, Speak Up Africa est un groupe d’action politique et de plaidoyer qui se consacre à catalyser le leadership, à favoriser le changement de politique et à accroître la sensibilisation au développement durable en Afrique. Grâce à nos plates-formes et à nos relations, et avec l’aide de nos partenaires, nous veillons à ce que les décideurs rencontrent les exécutants, à ce que les solutions soient présentées et à ce que chaque secteur – des citoyens individuels et des groupes de la société civile aux donateurs mondiaux et aux chefs d’entreprise – contribue de manière critique au dialogue et s’efforce d’élaborer les plans d’une action concrète pour la santé publique et le développement durable.