Au titre de l’année 2018, certaines personnalités et cadres par leur leadership, leur engagement et leur savoir-faire, ont fortement impacté l’économie du Bénin dans divers secteurs d’activité. Voici quelques uns de ces cadres de haut niveau qui ont transformé notre économie.
La rédaction
Ils sont au nombre de 16 dont trois femmes qui ont impacté l’économie béninoise en 2018. Découvrez-les ici.
1-Abdoulaye Bio Tchané, le meilleur mobilisateur de ressources financières
Le ministre d’Etat chargé du plan et du développement, a véritablement impacté l’économie du Bénin en 2018. Acteur principal de la mobilisation des ressources financières pour le Programme d’actions du gouvernement (Pag), plusieurs actions sont à son actif en 2018. Le dernier en date est l’accord de prêt de 50 millions d’euros (environ 33 milliards de francs) avec la Banque européenne d’investissement (BEI), pour lutter contre les inondations dans la ville de Cotonou. L’autre action phare du ministre d’Etat Bio Tchané, est l’obtention de l’intégralité du financement recherché de 123 milliards de francs CFA pour le bitumage de la route du coton : Djougou- Péhunco-Kérou-Banikoara, un projet important pour impacter des milliers de populations dans cette zone cotonnière. Il faut rappeler que c’est déjà en début de l’année 2018 que le leadership et le management du ministre d’Etat Abdoulaye Bio Tchané ont commencé à avoir effets sur l’économie béninoise. Car en janvier 2018, sous la coordination du ministre d’Etat Abdoulaye Bio Tchané, la table ronde à Paris en janvier 2018, a permis à six Partenaires techniques et financiers(Ptf) d’annoncer leurs engagements à hauteur de 238 milliards de francs CFA, soit 106% du montant attendu. Le ministre a de même réussi à concrétiser les promesses de deux bailleurs par la signature des accords, avec la Banque ouest africaine de développement (BOAD) et la Banque européenne d’investissement(Bei), et bien d’autres institutions financières. Plein d’actions du ministre d’Etat ont fortement impacté l’économie du Bénin en 2018 dans divers domaines que sont : l’énergie, l’agriculture, les statistiques, la planification, la lutte contre la pauvreté, l’atteinte des Objectifs du développement durable(ODD), les finances publiques, etc.
2-Romuald Wadagni, l’homme fort des reformes financières de l’administration béninoise
La bonne gestion des finances publiques, la mobilisation des ressources intérieures, la dématérialisation totale de l’administration publique, etc, sont les grands chantiers qui sont à l’actif du ministre Romuald Wadagni. Le ministre de l’Economie et des finances a lancé une panoplie de réformes en 2018 afin de mettre les finances publiques au service du développement du pays et du bien-être de ses citoyens. Doter le Bénin d’un système de gestion transparent, performant et efficace, conforme aux standards internationaux constitue des points à l’actif du Romuald Wadagni en 2018. Une bonne mobilisation des recettes publiques internes et externes, le paiement des impôts via internet, les facilités d’obtention de certaines pièces administratives, le paiement des agents retraités etc, sont au compteur de l’argentier national en 2018, sans oublier la confiance retrouvée des investisseurs en matière d’émission des emprunts obligataires que le Bénin a gagnée. Ce sont des records de performances en matière de gestion des finances publiques que le Bénin a réalisés grâce au talent du ministre Wadagni. Les actions de l’argentier l’ont de même amené à être élu meilleur ministre des Finances dans l’espace Uemoa en 2018.
3-Aurélie Adam Soulé Zoumarou, la tigresse du numérique
En octobre 2017, le président Patrice Talon, a nommé Aurélie Adam Soulé Zoumarou, ministre de l’Economie numérique et des communications, avec pour objectif, entre autres, de faire du Bénin un fournisseur de plate-forme de services numériques pour l’Afrique de l’Ouest, afin d’accélérer la croissance et réaliser l’inclusion sociale. Et, pour atteindre cet objectif, Aurélie Adam Soulé Zoumarou est sur tous les fronts de son domaine d’intervention. Les réformes et les actions mises en œuvre en 2018 dans le secteur du numérique et des communications ont connu des avancées notamment, le vote de la loi portant code du numérique, la transformation de l’écosystème des acteurs télécoms, la réhabilitation de la dorsale en fibre optique Cotonou-Malanville, le renforcement de la couverture internet 4G sur le grand Cotonou avec 30 antennes supplémentaires et la mise en place de la tête de réseau TNT. Aurélie Adam Soulé Zoumarou a la ferme volonté de faire du Bénin la plate-forme de services de l’Afrique de l’ouest. Elle s’y met avec soin et méthode.
4-Dona Jean-Claude Houssou, la dynamo de l’énergie électrique
Dans les environs immédiats du chef de l’Etat, Patrice Talon, officie cet homme plein de talents qui travaille dans la discrétion mais avec efficacité à l’atteinte de nobles objectifs. 2018 aura été l’année de grande révélation du dynamisme de cet homme débarqué à Cotonou en 2016. Grâce à la politique énergétique qu’il mène avec l’onction du Chef de l’Etat, les béninois ont maintenant fait dos à un triste souvenir, celui des délestages et de la quasi inexistence de l’énergie, quelle qu’elle soit. Lui en effet, c’est Dona Jean-Claude Houssou, ministre de l’Energie du Bénin. Sans ambages, il a fait depuis l’indépendance, le record de tous les succès dans le domaine de l’énergie électrique notamment en 2018 avec plusieurs initiatives et de grands chantiers ouverts qui vont bon train. De 77heures en moyenne de délestage, nous en sommes à 17heures aujourd’hui, grâce à l’efficacité de l’homme. Ce dynamisme a valu au Benin d’accueillir de grande rencontre pour l’essor du secteur notamment, le Salon international des mines, des carrières et du pétrole (Semica) en juillet 2018, le Sommet international pour le développement de l’électricité en Afrique (Side–Africa) en novembre 2018, un label Bénin, conçu par ce talentueux collaborateur du président Talon pour booster le secteur de l’énergie et qui a enregistré la participation de plusieurs délégations des pays africains et même d’au delà du continent et des ministres de l’Energie du Niger et de la Côte-d’Ivoire. A tout ceci, s’ajoute l’engagement de l’homme sous l’impulsion du Chef de l’Etat, Patrice Talon pour l’autosuffisance énergétique du Bénin avec le démarrage effectif et l’évolution à bon train avec suivi rigoureux du chantier d’une centrale électrique thermique, dual fuel de 120 MW à Maria-gléta 2 avec un taux d’exécution de 60%, vu en septembre 2018. Et ce n’est pas tout ! L’utilisation efficiente de cette denrée précieuse a conduit le gouvernement avec le savoir-faire du même ministre à une politique de mutation progressive vers l’usage de lampes électriques économiques au bout d’une période transitoire de 18 mois. C’est sans compter cependant de nombreuses autres assises et organisations toujours pour le bien être du secteur et qui, ont toutes impactées le secteur.
5-Sadio Cissé, Dg/BOA-Benin, le financier hors paire
La filiale béninoise du groupe BOA continue de dominer le secteur bancaire au Bénin. Une renommée que l’actuel directeur général, Sadio Cissé, maintient en gardant le cap en 2018 où la banque n’a fait que confirmer tout le bien que la clientèle pense d’elle. Déjà au premier trimestre 2018, elle réalise un résultat net de 3,2 milliards de Francs CFA au 31 mars 2018, en hausse de 10,3% par rapport au premier trimestre 2017. BOA-Bénin au 31 mars 2018 affiche un encours net de crédits à la clientèle de 398,8 milliards en progression de 2I% sur l’année. Quant aux engagements hors bilan, ils progressent de 3,5% en variation annuelle. Les dépôts clientèles s’établissent à 545,9 milliards et progressent de 4% sur l’année. Bank Of Africa a démarré ses activités au Bénin en janvier 1990. Son capital s’élève actuellement à 10,072 milliards de F CFA. Elle est la seule banque et la seule entreprise béninoise cotée en bourse à la Bourse régionale des valeurs mobilière (Brvm). Elle affiche au 31 décembre 2015 un total de bilan de plus de 850 millions Francs CFA, un total dépôt de la clientèle de 516 millions de Francs CFA, avec un effectif moyen de 561 collaborateurs, répartis sur un réseau 47 agences. Comme les 17 autres banques du groupe BOA, BOA-Bénin est une banque commerciale universelle intervenant sur les marchés Retail, Corporate, institutionnel et financier qui apporte à sa clientèle l’expertise d’un groupe puissant et structuré. BOA-Bénin dispose d’un réseau de 47 agences dont 24 à Cotonou et 23 en province et un centre d’affaires. Par ailleurs, elle dispose également de deux Guichets uniques portuaires(Gup) pour la domiciliation des recettes douanières.
6-Laurent Gangbes, l’accélérateur de la création d’entreprises
Sous le management du directeur général de l’Agence de promotion des investissements et des exportations (Apiex), 22.000 entreprises ont été créées en 2018. Le DG de l’Apiex a annoncé que 22.000 entreprises ont été créées en 2018. Le Directeur de l’Agence de promotion des investissements et des exportations a expliqué que le nombre d’entreprises créées au Bénin croît chaque année de 12 à 15% depuis 2016. A la question d’un internaute de comprendre la procédure de création d’une entreprise, Laurent Gangbes souligne qu’il suffit juste d’avoir « sa pièce d’identité en cours de validité, son acte de naissance, sa photo d’identité et diverses informations liées à son adresse ». Il précise qu’il faut des renseignements sur les activités à mener. Le directeur de l’Apiex indique qu’« il s’agit d’un processus profondément simplifié par le régime actuel. L’Etat, à travers l’Apiex, a mis en place un dispositif d’accompagnement dans toutes les démarches administratives des entreprises. Il y a une panoplie de reformes qui ont permis d’offrir des facilités aux créateurs d’entreprises. « Depuis 2016, le nombre d’entreprises créées dans notre pays croît de 12 à 15% chaque année. En 2018, il y a eu la création de 22.000 entreprises, un engouement à la création d’entreprises ». Le directeur de l’Apiex souligne qu’aujourd’hui l’allègement des impôts est fonction du nombre d’emplois créés. Les réformes engagées par le gouvernement en matière de création d’entreprise facilitent la tâche surtout à la jeunesse qui s’emploie à gérer sa propre entreprise.
7-Roland Riboux, l’agronome du secteur Cajou au Bénin
Président directeur général de Fludor Bénin, Roland Riboux est diplômé es Sciences économiques et es Sciences politiques de l’Université de Paris. Il assure la présidence du Conseil des investisseurs privés au Bénin (CIPB) depuis sa création en 2002. Élu consulaire à la Chambre de commerce et d’industrie du Bénin (CCIB), il a joué un rôle déterminant dans la définition d’un nouvel espace socio-économique au Bénin. Notamment, créer un espace plus favorable à l’investissement, à l’emploi, à la pérennité des structures performantes déjà existantes et à l’optimisation des ressources locales. A travers ses actions au CIPB qui réunit aujourd’hui plus de quarante grandes entreprises, il a contribué à l’amélioration du climat des affaires au Bénin. Il opère dans les filières cajou, karité et l’huile produite à partir des graines de soja et du coton. En 2018, Roland Riboux a beaucoup sensibilisé sur le dividende démographique et ses implications sur l’économie du Bénin. Aussi, a-t-il mobilisé ses pairs investisseurs pour la lutte contre les grossesses en milieu scolaire qui mine l’avenir de la jeunesse béninoise. Au cours de cette même année, il a beaucoup travaillé sur le développement du secteur de l’anacarde qui fait partie des produits agricoles les plus transformés au Bénin.
8-Jean-Baptiste Elias, le soldat infatigable de la lutte contre la corruption
Depuis plusieurs années, le président de l’Autorité nationale de lutte contre la corruption (ANLC), Jean-Baptiste Elias, mène une lutte sans pareil pour l’application rigoureuse de la loi 2011-20 du 12 octobre 2011 portant lutte contre la corruption et autres infractions connexes en République du Bénin. Au titre de l’année 2018, l’autorité a reçu au total 120 plaintes qu’il a su gérer dans la transparence afin de satisfaire les plaignants. Tous les 22 ministères et les 77 communes du Bénin ont reçu des délégations de l’ANLC pour leur parler de la loi 2011-20 du 12 octobre 2011 portant lutte contre la corruption et autres infractions connexes en République du Bénin. Ceci a permis qu’à défaut de cesser, la corruption a diminué sensiblement. Au niveau de la sensibilisation et de la prévention, Jean-Baptiste Elias a organisé en juin 2018, les journées nationales de la gouvernance. Ces journées ont pour principal objectif de réunir tous les quatre pouvoirs et la société civile, les universitaires, les têtes couronnées, la chefferie traditionnelle, les chefs religieux et partenaires techniques et financiers pour réfléchir aux actions à mener pour faire reculer la corruption au Bénin. Aussi, l’ANLC s’est préoccupée de l’application de la loi qui porte déclaration du patrimoine des agents publics du Bénin. Une démarche qui a permis de démasquer un membre du gouvernement, 10 députés, 5 membres du Conseil économique et social (CES), qui jusqu’au 1er octobre 2018 n’avaient pas encore fait la déclaration de leur patrimoine. Et pour 2019, il promet un travail continu avec tous les acteurs concernés par la lutte contre le phénomène de la corruption.
9-Taïrou Mama, le réformateur du transport et du transit au Bénin
Le secteur des transports et du transit est incontournable dans la promotion des échanges intracommunautaires gage d’une intégration régionale réussie. Au Bénin, l’économie nationale repose en majorité sur le secteur portuaire. Administrateur des transports et commissionnaire agréé en douane, Taïrou Mama est aujourd’hui un acteur important du secteur maritime. En tant que commissionnaire agréé des douanes et vice-président de la Confédération nationale des employeurs du Bénin (Coneb), il a mené beaucoup d’actions en 2018 pour contribuer à l’abolition des poches de corruption. Féru des opérations portuaires dont le payement des taxes, des redevances et même la collecte des frais de douane, il a su jouer un rôle de liaison entre l’administration douanière, les opérateurs économiques, la chambre de commerce et les opérations portuaires à travers la Société internationale des transports Tourré (SITT) qui opère dans la sous région ouest-africaine. En 2018, il a lancé le processus de la création de la fédération des commissionnaires agréés en douane afin de corriger le déficit de communication qui est un aspect fondamental dans le commerce international. Cette fédération sera chargée de faciliter le développement des technologies liées au transport et au commerce, susciter l’éveil des opérateurs économiques du secteur des transports, constituer un forum pour la simplification des formalités, procédure et documents utilisés en matière de transport et de commerce. Avec sa passion et sa rigueur, il a été distingué par l’OMD (Organisation mondiale des douanes), sur les transports internationaux à Madrid, sur les activités de consignation de représentation de l’agence maritime au Bénin et en Afrique de l’Ouest. La quatrième distinction c’est celle des commissionnaires agréés en douane de l’espace UEMOA qu’il a récemment reçu à Lomé. Cette dernière consécration vient jeter les bases pour la mise en place effective de la fédération des commissionnaires agréés en douane.
10-Mathieu Adjovi, le prince héritier du coton béninois
Le président de l’Association interprofessionnelle du coton (AIC), Mathieu Adjovi, marque toujours les esprits quand on parle de la production de l’or blanc. Ce sont des productions record depuis 2016. En 2018, pour la campagne cotonnière 2018-2019, les prévisions sont largement dépassées. Le leadership et le savoir-faire du numéro 1 de l’AIC enchainent des performances dans le secteur cotonnier au Bénin. Pour preuve, pour le bilan de la campagne 2017-2018, la production est évaluée à 578 000 tonnes, dépassant la barre des 575 000 tonnes. La campagne cotonnière 2018-2019 en cours montre que les prévisions seront encore dépassées. C’est plus de 578.081.59 tonnes de coton graine réceptionnés pour le compte de la campagne cotonnière 2018-2019. Des résultats largement au-delà des prévisions grâce aux mesures efficaces prises et mises en place par l’Association interprofessionnelle du coton (AIC) qui a fortement accompagné les producteurs avec de nouvelles techniques agricoles notamment l’intensification. Un tableau d’honneur peut être attribué au président de l’AIC pour ses performances.
11-Première dame Claudine Talon, « la mère Theresa » des béninois
La première dame œuvre inlassablement pour un meilleur taux de réussite des jeunes béninois. Dans ce sens, à travers la Fondation ‘’Claudine Talon’’, de nombreux d’élèves, meilleurs aux différents examens sont récompensés. De même, pour la rentrée 2018-2019, dans les zones déshéritées environs 6000 élèves démunis ont été soutenus par la fondation ‘‘Claudine Talon’’. Ce sont des enfants en situation difficile et orphelins qui ont bénéficié d’appui. Ce sont des kits scolaires qui ont été remis aux enfants du 17 au 21 septembre 2018 sur toute l’étendue du territoire national. Outre l’appui à l’éducation, la première dame a œuvré aussi pour une bonne santé des enfants. Dans ce sens, madame Claudine Talon, présidente de la fondation du même nom a organisé en juin 2018, au siège de Fondation à Cotonou, une table ronde sur l’élimination de la transmission mère enfant et la prise en charge pédiatrique(PECP) du VIH au Bénin. Par ailleurs, Claudine Gbènagnon Talon, 61 ans, a œuvré aussi dans divers domaines de développement au Bénin en 2018.
12-Mozart Hounsou, leader en télécommunications-Sécurité-Informatique….
Président directeur général de GC Inter S.A Solutions innovantes en télécommunications-Sécurité-Informatique-Production-BTP-Electricité-Mines, Mozart Hounsou, a impacté l’économie béninoise en 2018 grâce à son savoir-faire, son leadership et son management. En 2018, le groupe a sorti sur le marché béninois, de nouveaux produits innovants. Il s’agit entre autre d’une tablette de 4G, comparable à un IPAD, le développement de la maison intelligente qui permet de réduire considérablement la consommation d’énergie électrique, etc. L’évolution des gammes de caméras de vidéo surveillance. Les gammes depuis 2018 de haut niveau, sans oublier les innovations technologiques de 2018 en matière de montage, assemblage des portiques de sécurité de 6 zones et plus, le scanner de bagage de leur propre marque, sont de GC Inter S.A Solutions innovantes en 2018. Il faut rappeler que les innovations technologiques du PDG Mozart Hounsou l’ont conduit à gagner le prix du meilleur manager des PME de l’Uemoa en 2018 au cours du salon des banques et des petites et moyennes entreprises au Burkina-Faso.
13-Bruno Gnidéhoué, le premier consommateur des produits Made In Benin
Directeur général de « Label Bénin », Bruno Gnidèhouè est le promoteur du ‘’centre Label Bénin’’, un centre spécialisé dans la promotion, la valorisation des biens et services de même que des petites et moyennes entreprises du Bénin. Economiste et chef d’entreprise, il œuvre depuis plus d’une vingtaine d’années, à accompagner les Micro, petites et moyennes entreprises (MPME) de productions pour la transformation industrielle, la labélisation, le développement, la promotion et la commercialisation au Bénin et à l’étranger des produits « Made in Benin ». 2018 a été une année de grande promotion pour les produits béninois aux différents forums au plan national et à l’international. Pour preuve, lors de la première édition de l’exposition internationale des importations de la Chine (China International Import Expo – CIIE) qui s’est tenue le 10 novembre 2018 à Shanghai, le Bénin a retenu l’attention des participants et surtout des opérateurs économiques chinois en quête d’opportunités d’affaires. C’est à travers deux produits agricoles à savoir le cajou et le soja et autres produits exposés par la société ‘’Label Bénin’’ sous le leadership de son directeur Bruno Gnidéhouè. Au plan interne, l’année 2018 est une année de grande promotion des produits made in Benin.
14- BENIN PETRO SA, le magnat des produits pétroliers
Société anonyme de droit béninois régulièrement déclarée, ‘’Bénin Petro SA’’ sous le management de son directeur, Réné Hounsinou, œuvre efficacement pour le développement du secteur pétrolier au Bénin. Figurant parmi les meilleurs du secteur pétrolier au Bénin et dans la sous-région, ‘’Benin Petro’’ a impacté l’économie en 2018 par l’installation de diverses stations d’essence, de vente de gaz domestiques et autres produits d’hydrocarbure. L’année 2018 semble être l’année de tous les succès du groupe avec des milliers d’emplois et opportunités créés. Membre du groupement professionnel de l’industrie du pétrole du Bénin (GPP) et également membre associé de l’Association des raffineurs africains(ARA), Bénin Petro S.A a impacté plusieurs catégories d’entreprises et d’acteurs en 2018. Il s’agit des Marketers; les entreprises commerciales, industrielles et de transport; les entreprises publiques et privées ; les consommateurs directs sur les stations-service. Plusieurs pays de l’hinterland ont été servis en 2018.
15- Jehovah nissi petroleum (JNP), le plus arabe des pétroliers béninois
L’installation de stations-services de la ‘’Jehovah nissi petroleum’’ (JNP) est multipliée à Cotonou et aussi sur tout le territoire en 2018. Cette société sous le management de son directeur Arnauld Akapko compte également parmi les leaders du secteur d’hydrocarbure au Bénin. Des distinctions honorifiques ont été reçues par JNP en 2018. Pour preuve, elle est classée en 2018 par le cabinet d’études et de conseil en finances et en gestion (Ecofin) parmi les 100 entreprises les plus dynamiques de la zone de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa). JNP a été classé aussi en 2018, parmi les entreprises les plus méritantes du Bénin et de l’Union économique et monétaire ouest-africaine par son savoir-faire, le développement et sa contribution à l’économie nationale notamment l’expertise de l’entreprise, sa capacité d’innovation, sa capacité de pénétration du marché et l’impact de ses activités sur l’économie. JNP a contribué fortement à la promotion de l’investissement et la créativité des débouchés au Bénin en 2018 par l’ouverture de stations services dans tout le pays.
16- Sandra Idossou, actrice de lutte contre le sachet bio non dégradable, « Sachet hélou »
Sandra Idossou est une femme qui s’investit depuis peu, dans la lutte contre l’utilisation de sachets plastiques au Bénin. En 2018, Sandra Idossou, une consultante en qualité de services et initiatrice de la campagne <